The Lifethief, par Diana Probst, $10 pour 46 pages
La chamane Maserelt, de la tribu des Impalas, attend près de l'Endroit Mort depuis des semaines, appelant à l'aide, tout en surveillant la lente croissance de quelque chose de terrible en son sein. Elle a même demandé à son rival Erhehta, qui enverra les aventuriers, s'ils oseraient y aller. Malgré ses nombreux conflits avec Maserelt, certaines choses sont encore plus importantes que la victoire. Bien sûr, si la tribu des Monteurs de Bison peut l'aider là où les Impalas ne peuvent pas, cela compte comme une victoire pour Prax et pour Erhehta.
Les aventuriers devront faire face au pire environnement de Prax, l'Endroit Mort, et c'est déjà bien assez. Ils devront également trouver la chose que Maserelt appelle le Voleur de Vie (The Lifethief), et répondre à la question de savoir comment la détruire.
The Lifethief est écrit de manière à s'intégrer parfaitement après
The Gifts of Prax, mais il n'est pas nécessaire de connaître cette aventure. L'ordre de jeu suggéré est
Stone and Bone,
The Gifts of Prax,
The Lifethief, mais les dernières aventures contiennent des conseils pour jouer l'arc dans le désordre.
The Lifethief peut durer entre une et deux sessions, en fonction de la façon dont les aventuriers mordent à l'hameçon, et du nombre de rencontres que le maître de jeu ajoute. Un appendice de choses très praxiennes est inclus, avec une table pour les rencontres de l'Endroit Mort. Attention au petit lézard en colère !
Il est possible de compléter l'aventure entière sans combat, si les aventuriers sont doués pour s'enfuir, mais le combat est probable. Il y a des notes d'échelle pour aider à ajuster la difficulté pour n'importe quel groupe, d'un petit groupe de nouveaux guerriers en herbe à des aventuriers endurcis. Il s'agit d'une aventure particulièrement difficile, du moins en apparence, mais les conseils de mise à l'échelle permettront au maître de jeu de ne pas la rendre plus périlleuse que ce que le groupe peut supporter.