Voici une carte visuelle rapide des événements qui se sont déroulés au début du 8ème Déclin, c'est-à-dire entre 1626 et 1628.
l'Empire Lunar
Modérateurs : 7Tigers, kristoff, deBorn
Re: l'Empire Lunar
Jeff Richard:
Voici une carte visuelle rapide des événements qui se sont déroulés au début du 8ème Déclin, c'est-à-dire entre 1626 et 1628.
Voici une carte visuelle rapide des événements qui se sont déroulés au début du 8ème Déclin, c'est-à-dire entre 1626 et 1628.
Re: l'Empire Lunar
Jeff Richard:
Dieux du Feu et du Ciel versus Voie Lunar
Les Dieux du Feu et du Ciel coexistent avec la Voie Lunar dans un paysage religieux pluraliste dans les Terres du Giron Lunar. Les rituels honorant Yelm, Dayzatar, etc. sont dominants dans les contextes sacrificiels officiels, élitaires et ruraux, tandis que la Déesse Rouge, les Sept Mères et d'autres cultes lunars gagnent du terrain grâce à des pratiques dévotionnelles qui attirent des groupes sociaux plus larges, notamment les fermiers, les femmes, les soldats, etc.
En 1625, la Voie Lunar est prédominante dans l'Ombre d'Argent, où elle est au centre de la dévotion d'environ la moitié de la population. Dans d'autres régions, elle n'est pas aussi importante dans la dévotion quotidienne. Par exemple, moins d'un tiers de la population de Kostaddi se consacre aux divinités lunars - elles sont reconnues et vénérées, mais Lodril, les déesses des grains, Shargash, Oslira, etc. ont plus d'importance au quotidien.
Mais la coexistence est essentielle. Le culte de Yelm est l'un des piliers de cette coexistence. Yelm est la divinité dirigeante traditionnelle de Peloria, et Lodril, Dendara, Shargash, Polaris, etc. sont tous à son service. Cependant, la Déesse Rouge est reconnue dans le Giron Lunar comme la fille renaissante de Yelm et sa fille - l'Empereur Rouge - est le prêtre suprême de Yelm dans le Giron Lunar. L'Empereur Rouge exige que les dirigeants tels que les satrapes rejoignent le culte de la Déesse Rouge pour recevoir la consécration dans le culte de l'Imperator de Yelm.
Yelm et l'Empereur Rouge réunissent à la fois le culte solaire traditionnel de Dara Happa ET la Voie Lunar en leur propre personne. Si vous supposez que le culte de Yelm dans le Giron Lunar est en conflit avec la Déesse Rouge, vous commettez une grave erreur. Bien sûr, vous ne seriez pas le premier étranger à faire cette erreur.
Dieux du Feu et du Ciel versus Voie Lunar
Les Dieux du Feu et du Ciel coexistent avec la Voie Lunar dans un paysage religieux pluraliste dans les Terres du Giron Lunar. Les rituels honorant Yelm, Dayzatar, etc. sont dominants dans les contextes sacrificiels officiels, élitaires et ruraux, tandis que la Déesse Rouge, les Sept Mères et d'autres cultes lunars gagnent du terrain grâce à des pratiques dévotionnelles qui attirent des groupes sociaux plus larges, notamment les fermiers, les femmes, les soldats, etc.
En 1625, la Voie Lunar est prédominante dans l'Ombre d'Argent, où elle est au centre de la dévotion d'environ la moitié de la population. Dans d'autres régions, elle n'est pas aussi importante dans la dévotion quotidienne. Par exemple, moins d'un tiers de la population de Kostaddi se consacre aux divinités lunars - elles sont reconnues et vénérées, mais Lodril, les déesses des grains, Shargash, Oslira, etc. ont plus d'importance au quotidien.
Mais la coexistence est essentielle. Le culte de Yelm est l'un des piliers de cette coexistence. Yelm est la divinité dirigeante traditionnelle de Peloria, et Lodril, Dendara, Shargash, Polaris, etc. sont tous à son service. Cependant, la Déesse Rouge est reconnue dans le Giron Lunar comme la fille renaissante de Yelm et sa fille - l'Empereur Rouge - est le prêtre suprême de Yelm dans le Giron Lunar. L'Empereur Rouge exige que les dirigeants tels que les satrapes rejoignent le culte de la Déesse Rouge pour recevoir la consécration dans le culte de l'Imperator de Yelm.
Yelm et l'Empereur Rouge réunissent à la fois le culte solaire traditionnel de Dara Happa ET la Voie Lunar en leur propre personne. Si vous supposez que le culte de Yelm dans le Giron Lunar est en conflit avec la Déesse Rouge, vous commettez une grave erreur. Bien sûr, vous ne seriez pas le premier étranger à faire cette erreur.
Re: l'Empire Lunar
Jeff Richard:
Agriculture à Dara Happa
Le Dara Happa abrite un système agricole diversifié, façonné par ses systèmes fluviaux, ses zones humides et son climat varié. L'organisation agricole reflète une société stratifiée, mêlant l'agriculture de subsistance à petite échelle et les grands domaines orientés vers la production de surplus.
Taille des exploitations
La taille des exploitations agricoles de Peloria varie considérablement, reflétant ainsi la structure hiérarchique de la société :
. Petites exploitations (1-5 hectares) : Ces exploitations, sur lesquelles vivent environ 55 % de la population rurale libre ou semi-libre, font généralement vivre 6 personnes et se situent en dessous du niveau de subsistance.
. Exploitations moyennes (4-15 hectares) : Environ 15 % de la population rurale libre ou semi-libre possède des fermes d'une superficie moyenne de 9,5 hectares, mais capables d'assurer leur subsistance.
. Grandes exploitations (15-20 hectares) : 15 % de la population rurale libre possède des fermes d'une superficie moyenne de 17,5 hectares, avec 40 personnes par ferme.
. Domaines (25-200+ hectares) : Environ 14 % de la population d'esclaves libres ou semi-libres, avec une moyenne de 125 hectares, pour un total de 387 250 hectares, faisant vivre 150 personnes (dont 110 personnes libres asservies).
. Vastes domaines (plus de 1000 hectares) : Environ 1 % des personnes libres ou semi-libres vivent dans des fermes d'une superficie moyenne de 5 000 hectares, avec 1 000 à 2 000 personnes ( !) par ferme. Ces domaines sont généralement associés à la maison impériale, aux satrapes ou aux grands temples.
Les grandes exploitations (plus de 25 hectares) dominent, représentant 54 % des terres agricoles, produisant les surplus nécessaires à l'Empire lunaire pour sa très nombreuse population urbaine. La main-d'œuvre est composée de fermiers libres et de travailleurs forcés. Ce système de main-d'œuvre permet aux grandes exploitations de gérer les cultures à forte intensité de main-d'œuvre malgré l'échelle de la région.
L'agriculture de Dara Happa est centrée sur l'orge, le maïs et le riz sauvage domestiqué, grâce à son réseau fluvial (de Jillaro à Elz Ast) et à ses canaux d'irrigation :
. Riz sauvage : Cultivé dans les zones humides et les rizières alimentées par les canaux, il prospère dans les eaux peu profondes et boueuses (0,3-1 m de profondeur) pendant la saison des feux (20-30°C), planté à la fin de la mer et récolté en terre.
. Maïs : Cultivé sur des terres bien drainées, le maïs bénéficie de 50 à 80 cm d'eau (par les pluies ou l'irrigation) et suit le même cycle saisonnier que le riz sauvage.
. Orge : Cultivée sur des terres bien drainées, l'orge bénéficie de 30 à 50 cm d'eau (par les pluies ou l'irrigation), suivant le même cycle saisonnier que le riz sauvage.
. Irrigation : Les canaux maintiennent les zones humides pour le riz sauvage et irriguent les champs de maïs, en particulier dans les zones plus sèches (par exemple, Raibanth, 36 cm de précipitations), assurant un approvisionnement en eau constant dans toute la steppe.
Environ 15 à 20 % de la superficie de Dara Happa (et je ne parle que de Dara Happa) sont des zones humides et des marais, utilisés pour la pêche et la chasse, mais non affectés à l'agriculture.
Soit dit en passant, environ 50 % du Dara Happa sont encore des prairies non cultivées, utilisées principalement pour le pâturage du bétail, des chevaux, etc. Ce pourcentage est en fait inférieur à celui de la plaine alluviale du Missouri ou du bassin de la rivière Platte, qui sont probablement parmi les meilleures comparaisons avec la Peloria.
Q: Je me demande quel est le pourcentage de terres cultivées pour la culture du coton et du lin ?
Jeff Richard:
Peut-être autour de 5% pour le coton et moins pour le lin. L'orge, le maïs et le riz sont les denrées de base et des villes comme Glamour, Raibanth, Yuthuppa et Alkoth ont besoin d'énormes surplus.
C'est sans doute en grande partie pour cette raison que l'Empire Lunaire a recours au travail forcé à si grande échelle. Il a besoin d'un énorme surplus de céréales, de maïs et de riz pour nourrir ces villes. Le travail forcé permet également d'entretenir le système d'irrigation beaucoup plus étendu. Ces immenses domaines nourrissent les villes.
Agriculture à Dara Happa
Le Dara Happa abrite un système agricole diversifié, façonné par ses systèmes fluviaux, ses zones humides et son climat varié. L'organisation agricole reflète une société stratifiée, mêlant l'agriculture de subsistance à petite échelle et les grands domaines orientés vers la production de surplus.
Taille des exploitations
La taille des exploitations agricoles de Peloria varie considérablement, reflétant ainsi la structure hiérarchique de la société :
. Petites exploitations (1-5 hectares) : Ces exploitations, sur lesquelles vivent environ 55 % de la population rurale libre ou semi-libre, font généralement vivre 6 personnes et se situent en dessous du niveau de subsistance.
. Exploitations moyennes (4-15 hectares) : Environ 15 % de la population rurale libre ou semi-libre possède des fermes d'une superficie moyenne de 9,5 hectares, mais capables d'assurer leur subsistance.
. Grandes exploitations (15-20 hectares) : 15 % de la population rurale libre possède des fermes d'une superficie moyenne de 17,5 hectares, avec 40 personnes par ferme.
. Domaines (25-200+ hectares) : Environ 14 % de la population d'esclaves libres ou semi-libres, avec une moyenne de 125 hectares, pour un total de 387 250 hectares, faisant vivre 150 personnes (dont 110 personnes libres asservies).
. Vastes domaines (plus de 1000 hectares) : Environ 1 % des personnes libres ou semi-libres vivent dans des fermes d'une superficie moyenne de 5 000 hectares, avec 1 000 à 2 000 personnes ( !) par ferme. Ces domaines sont généralement associés à la maison impériale, aux satrapes ou aux grands temples.
Les grandes exploitations (plus de 25 hectares) dominent, représentant 54 % des terres agricoles, produisant les surplus nécessaires à l'Empire lunaire pour sa très nombreuse population urbaine. La main-d'œuvre est composée de fermiers libres et de travailleurs forcés. Ce système de main-d'œuvre permet aux grandes exploitations de gérer les cultures à forte intensité de main-d'œuvre malgré l'échelle de la région.
L'agriculture de Dara Happa est centrée sur l'orge, le maïs et le riz sauvage domestiqué, grâce à son réseau fluvial (de Jillaro à Elz Ast) et à ses canaux d'irrigation :
. Riz sauvage : Cultivé dans les zones humides et les rizières alimentées par les canaux, il prospère dans les eaux peu profondes et boueuses (0,3-1 m de profondeur) pendant la saison des feux (20-30°C), planté à la fin de la mer et récolté en terre.
. Maïs : Cultivé sur des terres bien drainées, le maïs bénéficie de 50 à 80 cm d'eau (par les pluies ou l'irrigation) et suit le même cycle saisonnier que le riz sauvage.
. Orge : Cultivée sur des terres bien drainées, l'orge bénéficie de 30 à 50 cm d'eau (par les pluies ou l'irrigation), suivant le même cycle saisonnier que le riz sauvage.
. Irrigation : Les canaux maintiennent les zones humides pour le riz sauvage et irriguent les champs de maïs, en particulier dans les zones plus sèches (par exemple, Raibanth, 36 cm de précipitations), assurant un approvisionnement en eau constant dans toute la steppe.
Environ 15 à 20 % de la superficie de Dara Happa (et je ne parle que de Dara Happa) sont des zones humides et des marais, utilisés pour la pêche et la chasse, mais non affectés à l'agriculture.
Soit dit en passant, environ 50 % du Dara Happa sont encore des prairies non cultivées, utilisées principalement pour le pâturage du bétail, des chevaux, etc. Ce pourcentage est en fait inférieur à celui de la plaine alluviale du Missouri ou du bassin de la rivière Platte, qui sont probablement parmi les meilleures comparaisons avec la Peloria.
Q: Je me demande quel est le pourcentage de terres cultivées pour la culture du coton et du lin ?
Jeff Richard:
Peut-être autour de 5% pour le coton et moins pour le lin. L'orge, le maïs et le riz sont les denrées de base et des villes comme Glamour, Raibanth, Yuthuppa et Alkoth ont besoin d'énormes surplus.
C'est sans doute en grande partie pour cette raison que l'Empire Lunaire a recours au travail forcé à si grande échelle. Il a besoin d'un énorme surplus de céréales, de maïs et de riz pour nourrir ces villes. Le travail forcé permet également d'entretenir le système d'irrigation beaucoup plus étendu. Ces immenses domaines nourrissent les villes.